L’été étant arrivé, il est l’heure pour deux choses sur ce blog. La première c’est de mettre un terme à cette saison ! Après une bonne quinzaine d’articles depuis Septembre dernier, il est temps de s’accorder une pause bien méritée (je trouve). Mais avant cela, une deuxième chose donc : la désormais traditionnelle Sélection Indestivale ! Comme les années précédentes, je vais profiter de cet ultime article avant les vacances pour vous proposer une poignée de jeux indés que je vous recommande pour vous occuper cet été. L’occasion aussi pour moi d’évoquer des jeux auxquels j’ai joué ces derniers mois sans forcément en parler ici.
Comme d’habitude, j’ai taché de faire attention en choisissant des jeux qui ne coûtent pas trop cher, afin – si vous vous laissez tenter – de ne pas trop entamer votre budget estival. Je vous propose donc cette année 8 jeux, dont les prix vont de 10 à 30€ grand maximum. Notez enfin que je vous donne les prix de base à titre indicatif. Je vous conseille cependant de fouiller car entre les soldes d’été et les éternelles promotions Steam par exemple, il n’est pas exclu que vous tombiez sur une bonne affaire !

Arranger est un jeu développé et édité par Funiture & Mattress, studio argentino-californien co-fondé notamment par David Hellman (directeur artistique sur Braid), Nick Suttner (auteur sur Carto, que je vous présentais dans ma sélection 2022) et Nicolás Recabarren, connu pour son travail sur Ethereal aux côtés du compositeur Tomás Batista, lequel a ensuite rejoint ce nouveau studio pour bosser sur Arranger donc.

Sorti en 2024, ce titre nous amène à incarner Jemma, une jeune femme qui quitte sa ville d’origine pour explorer le monde et se découvrir elle-même.
La particularité d’Arranger réside alors dans la façon dont Jemma se déplacera dans ce monde. Conçu autour de différents niveaux prenant l’allure de plateaux quadrillés, ce dernier repose sur une logique de déplacements de lignes et de colonnes. En effet, si vous souhaitez faire un pas vers la droite, vous ne déplacerez pas strictement Jemma mais bien l’ensemble de la ligne dans cette direction. Idem si vous souhaitez vous déplacer de bas en haut. Aux joueurs et joueuses alors de tirer parti de la forme des différents plateaux, de leurs contours et des obstacles qui s’y trouvent afin de tracer le meilleur chemin. Au-delà des seuls déplacements, cette mécanique sera également mise à profit afin de résoudre un certain nombre d’énigmes et autres puzzles mentionnés jusque dans le titre, ainsi que pour combattre les différents monstres qui se dresseront sur notre route.

Autour de cela, difficile de ne pas noter la beauté de la direction artistique du titre. Si la patte Braid se ressent de manière générale, elle se trouve ici adoucie pour coller à un univers plus chatoyant et chaleureux. C’est que Arranger trouve toute sa place dans la catégorie des wholesome games et son esthétique générale, colorée et réjouissante, ne manque pas d’y renvoyer. Mais le caractère wholesome s’observe surtout dans le récit qui, s’il nous met certes face à divers périls, est avant tout celui d’une quête personnelle et de rencontres que l’on fait en chemin. Reprenant en cela les thèmes que Suttner avait établis dans Carto, Arranger se révèle à la fois très satisfaisant sur le plan du jeu mais également très plaisant à suivre pour l’aventure dans laquelle il nous embarque.

Arranger est disponible sur PS5, Switch, Steam et EGS pour 17,99€,
ainsi que sur iOS et Android via l’abonnement Netflix.

Doit-on encore présenter Balatro ? Pas certain tant le jeu de LocalThunck a été l’un des grands succès de 2024. Fruit du travail d’une seule personne, le jeu de cartes a su séduire un très large public, et pour cause !

Dans les faits, Balatro repose sur un game design qui s’emploie à se réapproprier deux des mécaniques les plus courantes dans le jeu vidéo de ces dernières années : le rogue like et le deck building. Saupoudrés sur une variante très libre du poker, ces deux éléments apportent à Balatro à la fois un plaisir instantané de jeu ainsi qu’une profondeur dans ses logiques fortes qui nourrit la satisfaction ressentie à chaque partie. Surtout, par sa nature, Balatro invite autant aux longues sessions qu’à simplement faire quelques parties, en picorant en somme.

Aisé à comprendre, difficile à maîtriser, le jeu est une petite merveille qui n’a par ailleurs pas manqué de commencer à livrer son lot de titres inspirés par ce dernier. On pensera notamment au tout récent Wordatro, variante de Balatro développée par Abiding Bridge et placée cette fois-ci sous le sceau du Scrabble. Dans tous les cas, Balatro sera un compagnon idéal de vacances, que vous soyez du genre à jouer avec intensité ou simplement avoir un petit truc ponctuel pour vous occuper de temps en temps.

Balatro est disponible sur Android et iOS pour 9,99€, sur Switch et Steam pour 13,99€, sur consoles Xbox et PS4/PS5 pour 14,99€ et est également inclus dans les abonnements Gamepass et Apple Arcade.

Dans la course au titre du Jeu de l’Année, Blue Prince fait figure de sérieux concurrent en 2025. Paru le 10 Avril dernier, le titre de Dogubomb – dont c’est la 1ère œuvre – s’est imposé comme l’un des grands jeux de cette année.

Et il faut bien reconnaître que Blue Prince est une petite merveille. Le principe du jeu est en soi assez simple. Nous incarnons un jeune homme qui vient d’hériter du manoir familial. Mais une petite clause vient ajouter un peu de piment à l’affaire : il n’héritera véritablement dudit manoir que s’il atteint la 46ème pièce de ce dernier, laquelle est cachée. A nous alors d’explorer le bâtiment afin de dénicher cette fameuse room 46. La particularité de la recherche reposera notamment sur le fait que c’est nous qui choisirons quelle pièce se trouve derrière telle ou telle porte. En effet, à chaque porte que nous voudrons ouvrir, le jeu nous propose de choisir une pièce parmi trois possibilités. L’exploration se pare alors d’un design de puzzle où chaque choix sera déterminant dans notre progression, une pièce pouvant amener à une ou plusieurs autre(s), être un cul de sac, offrir des bonus ou se révéler plus piégeuse qu’autre chose. Au terme du nombre de pas alloué chaque jour, nous devrons quitter le manoir et reprendre notre exploration de zéro, laquelle deviendra alors différente car nous ne tirerons jamais les mêmes pièces à chaque journée. Blue Prince se dote alors d’une dimension aléatoire qui rend chaque journée plus intéressante que la précédente par sa capacité à nous révéler de nouveaux secrets.

Et les secrets, il y en a un paquet ! Car non content d’être un « puzzle game d’exploration » de génie, Blue Prince se révèle aussi beaucoup plus profond qu’il n’y paraît dans son écriture. Non parce qu’il fait preuve d’une richesse littéraire véritable mais bien parce qu’à mesure que nous découvrons les pièces du manoir et ce qu’elles contiennent, ce sont aussi les secrets de famille qui se dévoilent devant nous. Libre à chaque joueur et joueuse alors de se contenter d’arriver jusqu’à la pièce 46 ou de s’enfoncer dans le dédale mémoriel que le manoir se révèle être afin d’en découvrir tous les mystères. Un régal qui pourra vous occuper une semaine comme trois mois !

Blue Prince est disponible sur Steam, PS5

et consoles Xbox pour 29,99€.

C’est au tout jeune studio Plane Toast, vieux d’à peine quatre ans, que l’on doit Caravan SandWitch, paru à l’automne 2024. Une création française qui a depuis brillé en recevant un accueil public et critique tout à fait honorable, ainsi que les Pégases du Meilleur premier jeu et du Meilleur jeu indépendant en Mars 2025.

Pour faire court, Caravan SandWitch prend place dans un univers de science-fiction dans lequel Sauge, héroïne du jeu, retourne sur sa planète natale Cigalo. Un retour lié à la réception d’un message de détresse de sa sœur, pourtant disparue depuis six ans alors. Sur Cigalo s’engage donc une quête faite d’exploration et d’enquête. Equipé de notre camion, qui pourra recevoir un certain nombre d’améliorations tout au long du jeu, nous voilà donc à traverser les environs dans tous les sens afin de retrouver la frangine disparue.

L’un des éléments appréciables de Caravan SandWitch, c’est que le jeu se concentre sur cette principale idée et ne cherche pas à en cumuler trop. Expurgé notamment de toute forme de combats, le titre privilégie une approche environnementale des choses, amenant les joueurs et joueuses à retourner les moindres recoins de la map au gré des indications et demandes formulées par les différents personnages. Ces derniers offrent par ailleurs une variété de profils intéressante et même louable en cela qu’elle chercher à livrer une certaine représentation dans sa galerie de protagonistes. Inclusif autant que possible, Caravan SandWitch prouve avec élégance à quel point il est simple de donner de la place à tout le monde dans un jeu sans même insister dessus outre mesure. Si l’écriture des dialogues semblera toutefois un peu forcée sur cet aspect, je mets volontiers ce léger souci sur un manque d’expérience en termes d’écriture que sur autre chose. Nul doute que, dans l’avenir, les équipes de Plane Toast gagneront en maîtrise sur cela. Enfin, un mot pour la direction artistique, inspirée par les paysages de Provence et dont l’aura colorée et chaleureuse ne fait qu’ajouter au charme général du jeu.

Caravan SandWitch est disponible sur Steam,

PS5 et Switch pour 24,99€.

Je suis quelqu’un de simple. L’an dernier je découvrais Citizen Sleeper et je vous le proposais dans ma sélection indestivale. Cette année je découvre Citizen Sleeper 2 et il va de soi que je vous le propose dans ma sélection indestivale ! Car Jump Over the Age a de nouveau frappé !

En effet, le studio nous a proposé cette année une suite à son RPG textuel et c’est de nouveau une immense réussite. Pour l’essentiel, Starward Vector reprend les bases de la recette instaurée avec Citizen Sleeper premier du nom. Nous incarnons alors un sleeper, à savoir un androïde dans lequel a été transféré une conscience humaine, et nous partons en quête de notre liberté. Pour ce faire, le jeu se cale sur un système de journées au cours desquelles nous pouvons réaliser un nombre donné d’actions grâce à des jets de dés qui détermineront la réussite ou non de l’action choisie. A l’instar de son prédécesseur, Citizen Sleeper 2 nous fait alors voyager de lieux en lieux et rencontrer nombre de personnages qui pourront autant se révéler précieux alliés ou dangereux ennemis. Enfin, de la même manière que dans le premier épisode, ce sont nos choix qui détermineront l’issue de l’aventure, laquelle pourra considérablement varier d’une partie à l’autre.

Mais Starward Vector ne se contente pas de donner lieu à une suite banale et vient donc ajouter son lot de nouveautés aux principes généraux du jeu. Ce nouvel opus nous permettra notamment de recruter des personnages qui rejoindront donc notre avatar afin de l’aider à réaliser diverses tâches. Employés dans les zones principales de jeu, ces protagonistes permettront par exemple de gagner plus d’argent, plus de nourriture ou plus d’essence pour notre vaisseau. Ce dernier point se révèle d’ailleurs essentiel puisque Starward Vector nous fait bien plus voyager que son prédécesseur, de station en station mais également vers des zones de mission. Ces dernières constituent un autre des ajouts de cette suite. En effet, afin de progresser dans l’aventure, nous sommes amener à réaliser diverses missions et autres jobs à travers l’espace, ce que nous ferons en compagnie de nos recrues. Si deux seulement pourront nous accompagner au maximum, à nous alors de bien choisir la bonne personne pour le bon job. Cela n’a l’air de rien mais cette nouveauté vient à mon sens sobrement mais intelligemment renouveler le rythme de Citizen Sleeper. Je ne m’étends en tout cas pas davantage : si vous aimez les RPG, la lecture et la SF, cette licence est faite pour vous. A noter cependant qu’à l’heure actuelle le jeu n’est disponible qu’en Anglais donc attention si vous n’êtes pas à l’aise avec la langue de Shakespeare. Une version française est attendue pour cette fin d’année.

Citizen Sleeper 2: Starward Vector est disponible sur EGS à 22,39€,

sur Steam à 24,50€ et sur Switch, PS5 et consoles Xbox à 24,99€.

Il est également disponible dans l’abonnement Gamepass.

D’un jeu de carte à un autre, après Balatro voici Inscryption. Mais si le premier, en dépit de ses nombreuses idées et de son originalité, s’en tenait finalement à être un jeu de carte, avec Inscryption, on est sur tout autre chose.

Sorti en 2021, Inscryption est un jeu développé par Daniel Mullins. Les premiers instants du titre semblent poser des bases certes étonnantes mais néanmoins assez compréhensibles. Prisonnier d’un étrange personnage, ce dernier nous embarque dans un jeu mêlant plateau et cartes. Nous devons en effet progresser d’étapes en étapes en remportant des parties de cartes. Sur le chemin, nous pourrons agrandir notre deck en collectant de nouvelles cartes, mais également tomber sur des cases de buff ou de debuff que nous devrons autant que possible employer à notre avantage. Rapidement cependant, on se rend compte que le jeu ne tourne pas rond. On peut aussi quitter la table et faire un tour dans la pièce où nous nous trouvons. Là, divers objets semblent attendre que l’on puisse faire quelque chose avec…

La vérité, c’est qu’Inscryption n’est pas qu’un jeu de cartes. Il plonge bien au-delà de ça et, très vite, les cartes et les parties que nous disputons ne deviennent qu’un prétexte à quelque chose de plus vaste et, en définitive, de bien plus intéressant. Car si le jeu de cartes en lui-même demeure plaisant à jouer, c’est avant tout une question d’atmosphère qui se pose ici. Et celle d’Inscryption est à tomber. Impossible d’en dire plus sans gâcher les surprises (nombreuses) qui émaillent le jeu, aussi vais-je m’arrêter là. Mais je vous en conjure : jouez à Inscryption !

Inscryption est disponible sur EGS à 19,98€, ainsi que

sur Steam, GoG, Switch, Humble, PS4/PS5 et consoles Xbox

pour 19,99€. Le jeu est également inclus dans le Gamepass.

Si vous aimez les jeux de tactique mais que les formules classiques façon Fire Emblem, Advance Wars ou WarGroove vous ont un peu lassé, Let’s! Revolution! est peut-être le remède que vous cherchiez sans le savoir ! Porté par les studios Buck et Antfood, on a ici affaire à une proposition très sympathique dans le genre.

Oubliez tout ce que vous savez du tactical habituel. Ne pensez pas à Final Fantasy Tactics ou à Triangle Strategy. Eludez vos souvenirs de Fire Emblem.
Avec Let’s! Revolution!, la tactique trouve une forme qui va un petit peu bousculer vos habitudes en la matière. La particularité de ce jeu, c’est qu’aux éléments de tactique les plus classiques, il vient ajouter deux choses. La première c’est une dimension proche du démineur. A mesure que nous progressons sur la (petite) map du niveau en cours, chaque case présente un chiffre permettant de déterminer où se situent les ennemis à dénicher et à vaincre. Car en effet, la progression se fait grosso modo à l’aveugle, les éléments présents sur chaque case n’étant révélé que lorsque l’on s’en approche. Vigilance donc afin de ne pas être pris au piège !

L’autre chose que Let’s! Revolution! propose, c’est un aspect roguelite qui s’inscrit totalement dans l’ADN du jeu, à savoir un titre qui propose des parties plutôt courtes et à la rejouabilité prononcée. Les joueurs et joueuses auront donc le loisir de débloquer personnages et capacités supplémentaires afin d’optimiser chaque run et réussir – en accord avec la nature rogue de la chose – à aller de plus en plus loin. Ce sont d’ailleurs une centaine d’objets et capacités qui sont ainsi mobilisables afin de peaufiner son build. Pour tout cela, Let’s! Revolution! s’impose comme un jeu idéal pour de courtes sessions de jeu mais également pour des moments plus longs où l’on s’investira davantage dans la progression générale.

Let’s! Revolution! est disponible sur Steam à 19,50€ ainsi

que sur Switch, PS4/PS5 et consoles Xbox pour 19,99€

Oxenfree s’adresse à qui aime bien les histoires où des ados se retrouvent aux prises avec des trucs surnaturels. Le jeu de Night School Studio nous invite en effet à suivre un récit fait d’un week-end qui tourne mal, de phénomènes inexplicables et de signaux incompréhensibles.

Les influences derrière Oxenfree sont vraisemblablement légion, tant et si bien qu’il serait vain de les évoquer une à une pour tenter de vous faire comprendre d’où l’on vient avec ce jeu. Aussi, voyons plutôt où l’on va. Sur Edwards Island pour commencer, où se déroule notre aventure. Cette dernière met en scène un groupe d’ados, dont Alex, que nous incarnerons ici. Une île où les rumeurs veulent qu’en réglant sa radio sur des fréquences spécifiques, on peut capter des signaux étranges. Evidemment, Alex a une radio, la règle sur les fréquences en question et capte effectivement quelque chose. Là où l’on va alors, c’est sur l’ensemble de l’île, dans ses forêts, sur son ancienne base militaire, dans les logements vides qui en émaillent le paysage. Au gré de ces pérégrinations, les phénomènes paranormaux se multiplient et l’atmosphère d’Oxenfree gagne peu à peu en étrange et en inquiétant.

Oxenfree se révèle alors être une œuvre essentiellement narrative, usant de ses mécaniques pour accompagner le propos, sinon lui servir de prétexte. Le titre devient peu à peu lugubre, sinon macabre, dans une approche de l’horreur qu’on qualifierait presque de « post-lovecraftienne » tant elle mobilise des mécaniques essentielles de l’horreur conceptualisée par l’auteur américain sans pour autant en reprendre quoi que ce soit du mythe, de près ou de loin. Plutôt court (comptez 4 à 5 heures pour le terminer), Oxenfree a tout pour occuper la place de votre habituelle série estivale. Et si le cœur vous en dit, une suite (moins bien accueillie que le 1er volet cependant) est sortie en 2023 mais je ne saurais en dire plus, n’y ayant pas encore joué.

Oxenfree est disponible sur Steam à 9,75€ ainsi
que sur Switch, PS4/PS5 et consoles Xbox à 9,99€.
Il est également inclus dans les abonnements Netflix.


Ainsi s’achève cette sélection indestivale 2025 et j’espère que vous y aurez trouvé de quoi vous faire plaisir ! Si tel n’était pas le cas ou si vous aviez envie de trouver encore d’autres idées, libre à vous évidemment de consulter les sélections 2022, 2023 et 2024 !

Ainsi s’achève également cette saison 2024-2025 ! Le blog va désormais entrer dans sa pause estivale et je crois qu’elle est bien méritée ! Je conclus ces quelques mois avec le grand plaisir d’avoir vu le blog enregistrer de belles stats, confirmant la relance observée la saison précédente, avec une quinzaine d’articles inédits qui ont finalement pour la plupart plutôt, sinon très bien trouvé leur public. Je ferai un petit bilan de tout ça dans le courant de l’été sur mes réseaux sociaux, n’hésitez pas à m’y retrouver, tous les liens sont en haut de page ! Merci à vous en tout cas pour cette belle saison, votre soutien et votre fidélité. Je laisse le blog partir en vacances fatigué par le rythme tenu mais vraiment content des résultats et avec une seule hâte : remettre le couvert en Septembre !

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